Source: ScriptoBlog
Les déclarations de Luc Ferry nous amènent à ressortir les vieux dossiers. Où l'on apprend qu'un ancien ministre s'est fait poisser dans une partouze pédophile au Maroc...
Nous, on ne voit pas très bien où est le scoop !
Réseau de tortionnaires dans l’Yonne ?
Les carnets bien fournis de Claude Dunand
Tortionnaire en liberté : http://leruisseau.iguane.org
Le réseau : http://leruisseau.iguane.org
Cadavre en pièces détachées : http://leruisseau.iguane.org
Réseau de tortionnaires à Toulouse ?
Les relations mondaines de Patrice Allègre
Réseau de tortionnaires en Belgique ?
Nihoul et ses amis de la « Haute »
Régina Loof, témoin X1:
Partie 1 : http://www.dailymotion.com
Partie 2 : http://www.dailymotion.com
Partie 3 : http://www.dailymotion.com
Partie 4 : http://www.dailymotion.com
Le cas Nihoul :
Partie 1 : http://www.dailymotion.com
Partie 2 : http://www.dailymotion.com
Réseau de tortionnaires aux Etats-Unis ?
Les « petites faiblesses » du pouvoir US
L’affaire Lawrence King - Conspiracy of Silence (1994) – en anglais : http://video.google.com
Et aussi : http://fr.wikipedia.org
Site dédié au scandale Franklin : http://www.franklincase.org/
Réseau de tortionnaires au Portugal ?
Showbiz et monde politique pris la main dans le sac
Réseau de tortionnaires en Ile de France : des charniers d’enfants ?
Partie 1 : http://www.dailymotion.com
Partie 2 : http://www.dailymotion.com
Partie 3 : http://www.dailymotion.com
Partie 4 : http://www.dailymotion.com
Partie 5 : http://www.dailymotion.com
Réseau de tortionnaires américains ?
« child protective services »
Alex Jones 1 | http://www.youtube.com |
Alex Jones 2 | http://www.youtube.com |
Alex Jones 3 | http://www.youtube.com |
Alex Jones 4 | http://www.youtube.com |
Lone Star Times | http://lonestartimes.com |
Réseau de « sauvetage » d’orphelins africains ?
Des connections étranges avec Paris Biotech Santé…
…ou du rabattage pour notable ?
Par delà la multiplicité apparente de ces affaires qui ont en leur temps défrayé la chronique, on remarque un certain nombre de similitudes bien réelles.
En amont, des disparitions sont signalées ou des morts sont non élucidées.
On s’en prend généralement à des orphelins (Casa Pia), des personnes handicapées ou déficientes mentales (disparues de l’Yonne), des personnes socialement marginalisées (affaire Allègre), des immigrés, des ressortissants de pays africains, plus généralement des pauvres. En somme ce qu’il est convenu de nommer les damnés de la Terre.
Après de longues années de silence et d’oubli, survient généralement un policier ou un journaliste compétent et intègre qui part à la recherche de la vérité malgré les pressions exercées par une hiérarchie plus que timorée à l’idée de mettre le nez dans une sale affaire.
L’enquête débouche en général sur un rabatteur (Dutroux, Allègre, Dunand, Emile Louis…) chargé de kidnapper lui-même les victimes de par sa profession (Louis, Bibi…) ou/et son vice personnel (Dutroux, Allègre…). Entre ces prédateurs et les clients de ce genre de proie, on peut aussi trouver une courroie de transmission qui évolue généralement dans les eaux troubles des milieux partouzards locaux (Nihoul, Allègre…).
Lorsque les investigations touchent à leur but, à savoir semble-t-il une frange de l’élite constituée en réseau de pédophiles et de tortionnaires, l’enquêteur est soit dessaisi de l’affaire pour un motif futile ou une finasserie juridique (juge Connerotte), soit ridiculisé par la presse (gendarme Roussel), soit opportunément « suicidé » (gendarme Jambert). Si l’affaire crée un scandale tel que le public ne pourrait accepter de ne voir personne condamné, on dispose généralement d’un fusible de sécurité à envoyer en prison ; le plus souvent le rabatteur qu’on fait passer pour un psychopathe solitaire (Dutroux, Allègre, Emile Louis…) et qui préfère se taire plutôt que de perdre la vie…
Les médias de masse à quelques rares exceptions près (Lucet et quelques reportages équilibrés) sont enclins à décrier la recherche de réseau comme du conspirationnisme, de la paranoïa aigüe ou du sensationnalisme de bas étage. Dans le monde des médias, les réseaux ne semblent valoir la peine qu’on s’y intéresse seulement lorsqu’ils touchent des humbles (l’erreur judiciaire d’Outreau ou même l’affaire réelle d’Angers) ou des membres de l’Eglise Catholique (exemple des orphelinats irlandais).
A ce jour, seul le Portugal semble avoir mis à jour un réseau de notables s’adonnant à des pratiques sexuelles en dehors de la légalité. Faut-il en conclure que seule l’oligarchie lusitanienne ait en son sein des éléments démoniaques ? Influence d’un goût particulier pour les sardines, la morue ou le Porto ? Qu’on nous permette d’en douter.
Historiquement, il n’y aurait pourtant rien de nouveau sous le soleil. Il semble que la consommation sexuelle ou pédomaniaque d’individus appartenant à des couches inférieures d’une société donnée ait été un penchant courant dans certaines sphères « supérieures ». Se souvenir de Gilles de Rais au XVe siècle ou de la comtesse sanglante Elisabeth Báthory au XVIIe siècle. Notons que ces deux affaires emblématiques concernent des aristocrates alors infiniment éloignés socialement de leurs victimes. La « résurgence » apparente de ces pratiques dans nos démocraties libérales capitalistes amène inéluctablement à la conclusion qu’une nouvelle classe dominante suppose pouvoir disposer corps et âmes d’individus du « troupeau » social avec lequel les dominants n’ont plus aucun sentiment d’appartenance partagée.
Et certes, l’hyperclasse transnationale privilégiée et déracinée chère à Jacques Attali peut fondre du haut de son monde de jets et de buildings sur ses cibles grouillant encore sur la terre ferme…